L'armée ? Ici ? Pas possible ! [Soyshiro + Kana + Libre]

Soyshiro était heureux et il avait envie de se promener sur la plage, il alla dessus et il commenca à marcher.

-Ahh, quelle belle journée qui s'annonce !

Il se déshabilla et il sauta dans l'eau qui était très bonne, il commenca à nager la tête dans l'eau et les yeux fermés puis il heurta quelque chose en bois, il releva la tête et il vit un bateau.

-Oh, tiens, un bateau ! J'me demande qui c'est !

Il retourna sur la plage et regarda le bateau de plus près et il vit le pavillon hissé sur le mât.

-Eh mais c'est ... la ... MARINE !!! Eh merde ! Mais pourquoi ils sont là ?

Soyshiro cogita pendant quelques temps puis il eut un tilt.

-Mais bien sûr ! Ils sont là pour Kana, maintenant j'me rappelle, l'armée la recherche, haha ! ... MERDE !!! FAUT QUE J'AILLE LA PRÉVENIR !!!

Il coura le plus vite possible pour arriver à sa chambre. Il toqua puis il entra.

-C'est la fin Kana ! L'armée arrive sur l'île !

J'avais passé ma journée dans ma chambre, inquiète que quelqu'un débarque pour m'enlever, j'avais fermé la porte à double-tour, et même rajouter plusieurs cadenas. J'avais aussi gardé sur moi des clefs à molettes ainsi qu'une barre de fer pliable pour qu'elle prenne moins de place. Je m’ennuyais un peu c'est vrai donc je décida d'aller me balader un peu, mais pas question d'ouvrir les verrous, je passais par la fenêtre et m'accrochais aux branches de l'arbre pour un atterrissage sans bruits. Je m'en allais vers la plage, je n'avais jamais vu de vraies plage de ma vie, je ne voyais que des hologrammes avant. Mais j'en rêvais. Tout à coup j'entendis quelqu'un courir, haletant.

" Quelqu'un de l'armée ? "

Je me cachais derrière un arbre, avant de voir quelqu'un débouler.

" Soy ! Mais qu'est-ce qu'il fait ? Un footing ?... Attend voir, il viens pas de prononcer mon nom et ... L’ARMÉE ...? "

Je marchais vers la plage pour confirmer mes soupçons ! Je vis un bateau, c'était l'emblème de l'armée. Je commençais à paniquer ! Comment m'ont-ils trouvé, j'avais pourtant camoufler toutes les pistes ! Le bateau s’approchait de plus en plus. L'ancre était presque prête à être jeté. Sur le pont-levis je pus apercevoir un personnage avec des habits orné de médailles.

" Je le reconnais lui, c'est ... c'est ... LUI ... Il a ... Il... a "

La rage s’emparait de moi. Le tueur de mes parents était juste là, devant mes yeux. Avec une longue vue dans la main il me pointait de son autre main, un sabre à la main. C'en était fini, j'étais fini, j'avais le choix, laisser les recherches de mes parents à cet ingrat ou mourir en gardant le secret de leurs recherche. Le choix était rapide, je préférais mourir plutôt que d'aider cet homme. Je voyais l'armée débarquer sur la plage. Je ne fuyais pas, je devais lutter.

- Attraper la c'est elle ! Je reconnais son regard, elle avait le même quand j'ai tuer ses parents, haa pauvre fillette, si ils avaient gentiment donner leur recherche, tu ne serais pas orpheline. Je me souviens de leurs dernières paroles. C'était quoi déjà ? Ha oui : Nous t'aimons fort Kana. Les imbéciles ! Et maintenant je te retrouve, tu vas me donner leurs recherches ou tu subira le même sort qu'eux !

Il me foutais en rogne plus qu'autre chose, la mort de mes parents n'était pas veine, ils continuaient toujours de vivre en moi, dans mon cœur.

- Je suis d'accord avec le choix de mes parents, j'aurais fais la même chose qu'eux. Mais dis moi. Que ferez-vous après m'avoir tuer ? Vous ne serez toujours pas où sont cachés les recherches !

- Hé bien ! Il y a une autre façon sinon ! Nous pouvons prendre un de tes amis en otage. La tu seras obligé de parler !

- Ha oui, et qui allez-vous prendre, je n'ai aucun ami !

- Alors nous n'avons pas le choix, tu vas devoir ... MOURIR.

A ses mots, toute l'armée se jeta sur moi. Je dégainais une barre de fer, que j'avais toujours. Mais je ne faisais pas le poids !

Soyshiro était aller dans la chambre mais elle n'était plus là puis il regarda par la fenêtre et il vit Kana en train de se battre avec l'armée.

-C'était bien pour elle qu'ils sont venus ! Les enfoirés !

En fait, il savait que Kana ne l'aimait pas beaucoup mais lui la considérait comme une amie même si ça n'était pas réciproque.

-Ils ont gagné ! Ils m'ont foutu en rogne ! Faut que je trouve un micro ou autre chose qui fasse de l'écho !

Il alla dans le grenier, il chercha dans les affaires du grenier puis il trouva un haut-parleur. C'était parfait. Il prit le haut-parleur, et il monta sur le toit.

-KANA, SI TU M'ECOUTE, J'AIMERAIS TE DIRE QUE MÊME SI TU NE NOUS PRENDS PAS POUR DES AMIS, ICI VOUS ÊTES TOUS COMME LA FAMILLE QUE JE N'AI JAMAIS EU DONC ON T'AIDERAS JUSQU'AU BOUT QUOI QUE TU DISES, N'EST-CE PAS LES GENS ?

(Répondez s'il-vous-plaît sinon j'aurais pas l'air con moi ^^')

Un son me parvenait, malgré les nombreux cris de l'armée, ceux qui étaient en train de geindre et et ceux qui criaient en m'attaquant, les attaques étaient de plus en plus forte. Je n'allais pas tenir si longtemps que çà, à mon avis. Quelqu'un m'appelait, Soy ?

" Mais qu'est-ce qu'il fait encore ? Amis ? Non, si le général entend ... ca sera la fin ! "

Je n'avais pas tort, j'entendais son rire avant de me parler.

- Alors comme çà tu n'as pas d'amis, laisse moi rire. Ce jeune garçon vient de signer son arrêt de mort ainsi que le tien si tu ne parles pas !

- Jamais de la vie, si tu touches à un de ses cheveux ...

- Alors quoi ? Tu vas me tuer, tu ne fais même pas le poids contre moi ! HAHAHA Escadron n°1 Attrapez cette fille, Escadron n°2 Allez me chercher ce garçon.

-->Yes sir !

Je voyais un groupe partir en direction de l'hôtel, Soy' était toujours sur le toit.

" Merde, je suis encerclé maintenant ! "

- SOY' SAUVES-TOI, TU VAS MOURIR, TU NE FAIS PAS LE POIDS, COURS...

Je m'égosillais sous le poids de nombreuses attaques.

- C'est pas bientôt fini, NON ! Dégagez !

Je sortais une grenade à fumée et la jetais au sol rapidement ! Les militaires s'éloignaient, je courais me cacher derrière un arbre. Je regardais furtivement derrière moi. Les militaires ne bougeaient plus, avaient-ils reçu un ordre. Tout à coup, l'arbre derrière moi se fendit en deux, juste au-dessus de ma tête. Le général était là , armé, m'attaquant.

- A nous deux ma jolie, tu vas périr.

- Jamais, et surtout ne touches pas à Soy' !

- C'est ce qu'on va voir.

Le combat venait de s'engager !

-Merde ! Ils viennent me chercher ! Qu'est-ce que je vais faire ?

Soyshiro se demandait ce qu'il allait faire, l'armée était déjà entrée dans l'hôtel et elle s'apprétait à entrer sur le toit, il transpirait et quand elle entra sur le toit elle commença à lui tirer dessus.

-Vous ne m'aurez jamais, vous m'entendez ?

Il n'y avait qu'une seule solution, sauter de l'hôtel ! Entre se casser quelques os et mourir il préférait la première solution. Il sauta en criant.

-VOUS NE M'AUREZ JAMAIS !!!

Il atterrissa par terre et il roula pendant 2 ou 3 secondes.

-Ouch, je m'attendais à avoir plus mal que ça ! Enfin je me plains pas, haha !

Il se releva et vit Misao, un ... robot et Kana, il alla vers Misao.

-Misao, c'est pas le moment pour les gentillesses donc je vais faire vite. T'aurais pas des armes dans l'hôtel ?

Je courais toujours le général au trousse. Décidément il ne voulait
pas abandonner. Il donnait des coups de sabre dans le vide. Enfin presque, c'est moi qui réussissait à les éviter. Il était très fort. Ma robe, je l'avais coupé très courte pour ne pas qu'elle m'empêche de courir et lui la découpait en lambeau en voulant m'entailler la chair. Je pris ma barre de fer dans les deux mains et me retournais pour bloquer son sabre avec la barre.

- Pourquoi ces recherches sont-elles si importantes pour vous ? Pourquoi êtes-vous prêt à tuer pour elles ?

- Pourquoi ? Tu demandes pourquoi ?

Son regard devenait fou, il éclata de rire.

- Ces recherches contiennent tous les prototypes de guerre, des armes surpuissantes. J'avais obligé tes parents à les effectuer, mais à la fin ils les ont cachés. Les jugeant trop dangereuses, elles ne doivent servir que pour la paix m'ont-ils dit. Elles doivent être utiles pour protéger des gens et non les tuer ... Quel idée futile ! Elle leur a coûté la vie. La paix, ce mot n'existe que dans les contes de fée ! Les armes sont faites pour tuer, pour dominer, pour écraser. Quand elles seront en ma possession ... HAHAHA je deviendrais le maître du monde, non, de l'univers même !

Il attaqua, levant son sabre et le jetant sur moi avec force, je résistais avec ma barre de fer. Elle ne pourrait résister que dix minutes encore si j'en crois son état. Il faut que je termine et vite !

- Pourquoi mes parents ?

- Ils étaient les meilleurs ingénieurs de tous les célestiens ! Et ils m'ont obéis, tu sait pourquoi ? Parce que je les ai menacé de tuer leur fille adoré.
Les célestiens sont si faciles à manipuler. En fait ils sont destiné à servir l'armée, à être nos ingénieurs, nos esclaves !

- Vos esclaves ? Ne me faites pas rire, pauvre humain, vous ne savez rien faire à part exploiter les autres. Vous ne mériterez même pas de nous toucher. Vous n'êtes qu'une espèce inférieur.

Le général commençait à s'énerver. Il attaqua à plusieurs reprise mais ne contrôlait pas sa force, ses coups étaient moins précis, moins dangereux, et j'arrivais à les esquiver facilement.

- Alors on perd son sang froid ?

Il ne me répondait pas à présent furieux. Je ne voyais plus ou je marchais et trébucha sur une branche. Le général ne loupait pas cette occasion et enfonça son sabre dans mon épaule. La douleur était intense, je souffrais, j'avais mal ! Et le sang coulait à flot. Il le retira, un sourire sur les lèvres.

- Et maintenant que vas-tu faire.

- Je ne vous dirais jamais où sont caché les recherche. Vous êtes un malade !

Soyshiro était énervé et il avait envie de tout dégommer sur son passage. Il prit 2 flingues qu'il mit ddans ses poches, 2 mitraillettes et un sniper plus une dizaine de recharges de balles. Il était paré pour les tous les dégommer. Il vînt à côté de Misao, prit le sniper et commença à tirer sur tout les soldats qu'il pouvait !

*Rire sadique*

Avant que le général ne me lègue le coup de grace, une balle vint toucher son épaule, la transperçant de plein fouet. Mes vêtement n'étaient, eux, plus que des lambeaux. J'arrachais le haut qu'il me resté pour en faire un bandage rapide à l'épaule. Le général, lui tomba par terre en étouffant un cris de douleur et de colère.

- Sale petite garce, comment à tu osé, tes amis vont aussi périr !

- Ne m'adresse pas la parole comme çà, stupide humain, mes amis, dit-tu ? Ils ne le sont pas, ce sont juste des personnes qui se batte pour ne pas voir leurs hôtel, leurs biens, leurs souvenir disparaître à cause de toi et de ta stupide armée. Tu ne fais que répandre le mal autour de toi. Ne me fais pas rire, tu veux devenir roi du monde et de l'univers ? Personne ne te laisseras faire. Ce bras, tu as mal n'est-ce pas. Et bien souviens-toi de cette douleur. Ce n'est rien comparé à celle de mon coeur et de celle de mes parents. BAKA NINGEN !!

Je me tournais alors dans la direction d'où provenait la balle. Il y avair un jeune Neko, sur une machine de guerre.

" - Attend, c'est pas sérieux, pourquoi la machine fait des mouvements comme çà, pourquoi çà fume ? Ca va ... ca va ... EXPLOSER ! "

Je criais en direction du Neko.

- Hoé toi ! Attrape, cette clef et tourne le boulon situé derrière la machine à ° et avance le machine de 500 m. Ensuite fais le code 0589634 sur ton tableau de bord et enfin appuie sur un bouton violet. T'écoutes ?

Je lui lançais une clef avec le bras qui marchait encore. J'avais baissé ma garde et une douleur aigu se propagea tout au fond de moi. Le général m'avait tiré dessus, dans la jambe ! La douleur était intense. Je tombais par terre, ne pouvant plus marcher. Je tentais tant bien que mal d'arrêter le sang.

- Qui est stupide maintenant ? Pauvre fillette !

- Temeeeee. Comment à tu osé, Tu n'es qu'un humain !

Il me menaçait maintenant avec un pistolet.

- Dit moi où sont les recherches !

- Jamais !

- Alors tu vas mourir !

Il pointa son arme sur ma tête.

Soyshiro tirait sur tout le monde et il voyait que le tas de soldats diminuait. Il était content et il continuait de tirer avec le sniper puis il tourna la tête et il vit le flingue du général pointé sur la tête de Kana.

-N'y pense même pas, enfoiré !

Il rangea le sniper puis il sauta du balcon en sortant ses 2 flingues.

-Tu la touches pas.

-"Oh mais tu as un ami bien bête, tu sais ? Il va goûter à mon lance-grenade !"

Il commença à tirer sur le général puis il le vit sortir un lance-grenade et il commençait à lui tirer dessus. Les 2 premières explosèrent avant de le toucher puis Soyshiro lui tira dessus, ça le toucha à l'épaule et il lâcha le lance-grenade mais juste après avoir lancé la dernière grenade qui explosa en plein dans le ventre à Soy'. Il tomba par terre, il s'était évanoui et il n'était pas près de se réveiller.

-"Conn*rd ! Je vais te tuer et ensuite ce sera le tour de la célestienne !"

Le général pointa son flingue entre les 2 yeux de Soy' ... c'était la fin !

Soyshiro était sonné mais il se releva quand même, il voyait flou et il avança en suivant son instinct puis il se mit à mieux voir puis il vit Kana à terre.

-Kana !

Il s'approcha doucement pour ne pas que le général le voit.

-Sa va ?

Il la prit sous le bras et il l'emmena derrière un arbre vers le robot gentil.

-Dis, toi là, dans le robot, tu voudrais pas surveiller cette jeune fille le temps qu'elle se réveille, s'il-te-plaît ?

Il reparti vers Misao qui tenait le général par la chemise.

-Sa y est, tu l'as eu ?

J'avais mal, le sang ne s'arrêtais pas, je souffrais, je ne pouvais plus bouger mon épaule et ma jambe ne m'écoutait. Je sentis quelqu'un me porter et me changer de place. Qui ? J'ouvrais les yeux rapidement, c'était Soy'. Ouff c'est pas le général. J'en avais marre, je prit une branche solide, puis déchirais à nouveau un morceau des lambeaux qui me servaient de robe pour l'enrouler autour de ma jambe. Je m'appuyait sur la branche pour marcher jusqu'à Misao et Soy' et aussi ... le général à présent immobilisé à terre.

- Attendez ne le tuez pas tout de suite ! Il faut que je parle avec lui !

Je m'approchais de lui lentement, j'avais du mal à avancer. En effet avec un bras et une jambe on peut pas faire grand chose !

- Pauvre humain ! Regarde où tout çà t'a emmené, le roi du monde disais-tu, tu ne mériterais même pas d'être vivant, tu n'as fais que tuer, tuer et encore tuer.

- Comment oses-tu petite garce, tu ...

- Tais-toi ! Ne m'adresse pas la parole comme çà, tu m'as vraiment mis en colère. Baka Ningen ! Ressens-tu ce que toutes tes victimes ont subi ? Non, ce n'est même pas possible car même si ta douleur est atroce ce n'est rien comparé à la leurs !

Je prenais l'arme des mains de Misao et la pointais sur la tête du général.

- Mes parents m'ont souvent dit que la vengeance n’engendre que de la vengeance. Et bien, à mon avis pour ton cas ce ne doit pas être vrai. Qui viendrait sauvé un pauvre fou comme toi ?

- Ne sous-estime pas l'armée, il n'y a pas que moi à en avoir après toi !

- Ha bon et qui ?

- Tu verras bien dans le futur. Aller maintenant tues-moi, c'est ce que tu attends, non.

- Ne me donnes pas d'ordre abruti !

Je pointais mon armes sur sa tête mais je n'osais pas tirer, je ne veux pas devenir une meurtrière.

-Ouais t'as surement raison. Mais t'es sûre de vouloir le tuer, Kana ? Il n'en vaut pas la peine.

-"Mais pour qui il se prends cet idiot ?"

-Ta gueule !

Soy' démonta un grand coup de pied dans la tronche du général.

-Maintenant tu diras plus de conneries ! Au fait, t'as l'air mal en point Misao ... attends deux secondes.

Soy' déchira un morceau de son T-shirt et fit un bandage à la jambe de Misao.

-Voilà ! Comme ça c'est bon. Et merci pour tout à l'heure, sans toi il m'aurait tué, c'est sûr.

Il était heureux et soulagé que l'armée n'ai pas prise Kana puis il se rappella que le reste de l'armée était restée dans l'hôtel.

-Au fait, il n'y aurait pas encore des soldats à l'intérieur ?

Soy' vit le jeune neko dans le robot crier et entrer dans l'hôtel en défonçant la porte.

-Le neko a raison ! IT'S SHOWTIME !!!

Soy' était tout excité à l'idée de dégommer le reste de l'armée. Il marcha vers l'hôtel en rechargant ses armes.

-C'est parti pour le grand final !

Il rentra et il commenca à tirer sur les soldats.

-Vous faites moins les malins sans votre général, haha ! Allez venez les filles !

Il vînt vers le robot et il sauta sur son épaule.

-Salut, au fait j'aimerais savoir ton nom !

Le général était toujours devant moi, devais-je le tuer, devais-je le laisser en vie ? Ce choix n’appartenait qu'à moi.

- Alors tu me tue ?

- Tais-toi !

C'était le moment de décider !

- Tu as tuer de nombreuses personnes jusqu'à présent, ton crime doit être punit, tu ne mérites que la mort !

- HAHA !

- Ne rigole pas, à tu des dernières paroles ?

- Non !

Je prenais mon courage à deux mains puis appuyais sur la détente du pistolet que j'avais placé en direction de son coeur ! Il étouffa un cri de douleur, puis prononça ses dernières paroles.

- Ne crois pas que j'étais le seul à te poursuivre, d'autres personnes n'attendent que de trouver les recherches ou de te tuer !

- Comment çà ?

- Tu verras ... dans ... quelques tem... ps ...

Il tomba net sur le sol, un sourire au lèvre. Comment pouvait-il sourire ? ET puis il n'était pas seul ? Comment çà ? Je remarquais qu'il ne restait pas de soldat sur la plage, seulement un bateau. Les autres étaient dans l'hôtel ! Je tentais tant bien que mal de marcher sur une jambe et à l'aide d'un bout de bois jusqu'à l'hôtel où tous le monde combattaient ! Quand j'arrivais devant la porte, je sentis d'un coup ma jambe lâché, le choc était trop fort ! J'avais tuer quelqu'un ! Même si c'était un tueur lui même. Je restais là accroupis, le regard vide, les yeux noirs, sans éprouver d'émotion !

" J'ai tuer quelqu'un ! Je n'y crois pas ! Je suis devenu une meurtrière !

Soyshiro était en train de démonter tout les soldats lorsqu'il vit Kana à genoux par terre, il se demanda ce qu'il se passait donc il sauta du robot.

-J'te laisse le reste !

Il souriat et il partit voir ce qu'il arrivait à Kana puis il vit le général à terre et en sang, il comprit de suite, Kana l'avait tué. Il s'approcha d'elle puis il lui posa une main sur l'épaule.

-Ne t'en fais pas pour ça. Tu as bien fait, si tu ne l'avais pas tué il aurait lui même fait d'autres victimes. Et puis, si tu culpabilises, dis-toi que tu es la sauveuse en quelques sortes de ses prochaines victimes.

Il lui souria puis la releva.

Même si Soy' me disait çà je ne m'en remettais pas. Il me releva. Je m'appuyais sur lui, ne pouvant pas marcher toute seule avec une seule jambe et un bras inerte. Je ne pouvais pas lui répondre, en proie toujours au choc, j'avais des yeux noir, vude,, mon corps ne m'écoutais presque plus, je n'eus que le force d'accrocher la manche de son épaule pour pleurer sur son dos.

Soy' vit que Kana ne pouvait plus marcher et qu'elle était blessée jusqu'à la colonne vertébrale. Il la vit ensuite pleurer sur son épaule.

-T'inquiète pas ! Ne t'occupe pas de lui. Personne ne t'en voudra de l'avoir tué. Il était detésté et craint de tout le monde, les gens vivaient dans la peur et l'incertitude et grâce à toi ils n'auront plus ce poids sur le cœur.

Il lui caressa le dos de ses 2 mains puis il lui souria.

-Écoute, te fais pas de mouron pour cette histoire. Pense à tous les gens que tu auras vengés et défendus. Allez, pense à tous les amis qui t'ont aidés et à tes parents qui doivent sûrement être soulagés de te voir entourée et protegée.

Puis après avoir essayé de réconforté Kana, Soy' ressentit une violente douleur au niveau des poumons.

-Aïe ! Merde ! Je crois qu'il y a plusieurs côtes qu'ont lachés qui sont en train de perforer mon poumon. Aïe !

Il s'allonga et agonisa.